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Jouer de la musique électronique live – Comment préparer votre Live Set ? (Partie 6, Fin)

J’ai récemment joué un set live au StereoBar à Montréal pour le lancement de mon album Returning Home et il était très intéressant de créer un set live à partir de zéro, en suivant les conseils de cette série sur la musique électronique en live. J’aimerais partager avec vous comment ça s’est passé, ainsi que quelques notes personnelles pour les performances futures.

NOTES SUR LA PRÉPARATION DE MON SET

Returning Home a beaucoup de pistes et je n’étais pas sûr de la façon dont je les approcherais dans un contexte live étant donné qu’elles sont toutes assez complexes, pleines de détails et pratiquement impossibles à exécuter en tant que version(s) enregistrée(s). J’ai décidé de passer en revue toutes les chansons et d’exporter les stems pour chaque groupe de sons — en plus de m’assurer que le kick et la basse seraient isolés — afin de pouvoir contrôler la manière de les faire intervenir dans le set.

L’exportation des stems m’a pris du temps. J’ai aussi exporté des stems de certaines chansons qui n’étaient pas incluses dans l’album, mais que je voulais jouer. J’avais un bon 17 tracks prêtes, avec environ 8 pistes exportées par track. J’ai tout importé dans mon nouveau live set, et j’ai tout ajusté dans les bonnes colonnes et avec les couleurs dont j’avais besoin. J’ai aussi commencé à découper les stems en sections pour pouvoir lancer certaines parties spontanément.

Après quelques jours passés en ermite, j’ai commencé à jouer les morceaux pour évaluer le flow et voir si les transitions se déroulaient bien. J’ai joué avec les effets, en essayant de pimenter les idées principales pour surprendre les gens. Comme je répétais et essayais de voir comment jouer les chansons, je me suis retrouvé très ennuyé par ce que j’entendais. Quand on passe des mois à faire un album, on arrive à un point où on ne peut plus écouter sa propre musique — et j’ai trouvé un peu trop facile de le jouer tel quel.

Live à MUTEK Chili 2006

Live à Zurich 2005

J’ai tout mis à la poubelle. Je me souviens même d’avoir douté de toute cette série d’articles, mais j’ai réalisé après qu’elle avait encore beaucoup de valeur. Le truc, c’est que j’avais mal préparé les choses. Je me suis souvenu comment j’aimais jouer en live, il y a 15 ans et j’ai eu un flash-back qui m’a excité : l’improvisation pure. J’ai réalisé que l’utilisation des stems ne laissait pas assez de place à l’improvisation et que ma musique est en elle-même, un pur chaos.

Je suis retourné à ma banque de sons que je n’avais pas sélectionnés à l’origine et j’ai commencé à découper les sons, à déconstruire les stems et à réexporter de nouvelles parties. Puis j’ai commencé à créer un espace où je pouvais remixer tout l’album sur le coup, en plus d’ajouter des sons inattendus et inutilisés. Fondamentalement, il s’agissait de combiner la basse de la piste 2 avec la mélodie de la piste 7, puis la percussion de la piste 4… du remix pur. J’ai trouvé une idée centrale pour chaque moment de mon set, et j’ai laissé beaucoup d’espace pour la réinterprétation. Ça a marché et je me suis beaucoup amusé!

MON SET-UP POUR CE LIVE

J’ai utilisé le Ableton Push et deux Novation Launch XLs comme mixeurs pour toutes les pistes (j’ai fini par en utiliser 10). Pour une raison ou une autre, chaque fois que j’ai essayé d’utiliser le PUSH en live, cela n’a jamais vraiment aidé. Pourtant j’ai senti cette fois qu’il fallait que je l’utilise. J’adore les Novations donc en utiliser deux a été vraiment incroyable.

Limitations : Mon MacBook pro n’a que 2 ports USB, donc j’avais besoin d’un hub USB pour connecter le tout.

Soundcheck au Stereobar

SOUNDCHECK

En arrivant sur place, je me sentais vraiment confiant, peut-être trop confiant. Le soundcheck s’est tellement bien déroulé que — d’après mon expérience — lorsque cela se produit, on a l’impression que quelque chose va mal tourner plus tard.

J’avais passé du temps en studio à ajuster soigneusement chaque piste avec des égaliseurs pour m’assurer que le son n’était pas trop agressif ou perçant. J’ai également décidé d’utiliser une compression Manley de l’UAD sur le master, ce qui a rendu le tout vraiment smooth. Il était important d’utiliser une piste de référence comme courbe d’égalisation. Cela a vraiment payé pendant le soundcheck, donc je n’ai pas eu à faire grand-chose : tout s’est très bien passé.

ASTUCE : Écoutez votre piste de référence avant le soundcheck, puis jouez-la pour régler un égaliseur sur le master.

LE SHOW/PERFORMANCE

Après un bon départ, tout a commencé à déraper. Pendant la lecture d’une piste, j’ai remarqué que mon mixeur ne répondait pas et j’ai réalisé qu’il avait redémarré. En redémarrant, il a fait planter la deuxième table de mixage et le PUSH. Je n’étais même pas à 5 minutes et le sablier de la mort tournait déjà sur mon Mac. J’ai attendu patiemment et heureusement, tout est redevenu normal. Mais après cette erreur, j’ai déconnecté l’une des Novations pour la brancher directement sur mon ordinateur au lieu du Hub USB que j’avais acheté le jour même (les connecteurs bon marché sont toujours une grosse erreur !). Le PUSH était gelé et ne faisait rien, je devais activer les clips avec ma souris. Heureusement, grâce à mon expérience sur scène pendant tant d’années, j’ai pu le faire sans que les gens s’en aperçoivent. Les Novations continuaient à crash l’une après l’autre. Chaque fois je devais les débrancher patiemment pour les redémarrer, puis le sablier s’éteignait sur mon ordinateur. Pour une raison ou une autre, ils fonctionnaient pendant une bonne vingtaine de minutes, puis crashaient à nouveau.

Heureusement, personne n’a rien remarqué ! J’aurais vraiment pu jouer un super show ce soir-là si tout avait fonctionné correctement parce que le Stereobar a la configuration parfaite pour moi. C’était un peu décevant, mais j’ai quand même reçu beaucoup de bons retours.

MUTEK Montreal 2006

Live à Londres 2005

APRÈS LE SHOW

Malgré les problèmes techniques, c’était néanmoins une superbe gig.

Pour résumer, voici quelques conseils basés sur cette expérience de live :

  • N’achetez pas d’équipement le même jour sans l’avoir testé. Les soundchecks ne sont jamais à 100 % de ce que sera le show et ne peuvent jamais être un véritable test.
  • Désactivez la fonction de mise à jour automatique d’Ableton Live. En fait, il a été mis à jour la veille avec un bug — un assez gros bug. J’ai dû réinstaller le logiciel et c’était stressant. Merci pour la réponse rapide de l’assistance technique d’Ableton à ce sujet.
  • Ne paniquez jamais lorsque des problèmes surviennent. La plupart du temps, les gens ne le remarquent pas.
  • Essayez d’éviter les hubs USB de m**** ! Je cherche encore une meilleure alternative.

J’espère que cette série a été utile !

Jouer de la musique électronique live – Comment préparer votre Live Set ? (Partie 2)

Après avoir décidé de la direction que prendra votre set live, nous allons maintenant discuter de la façon de préparer un set électronique live en termes d’approche de chaque chanson individuelle, ou des moments comme je les appelle. Cet article fait suite à Jouer de la musique électronique live — Comment préparer votre Live Set ? (Partie 1)

Avant de continuer, assurez-vous d’avoir lu l’article ci-dessus, après quoi vous devriez avoir une meilleure idée du style que vous aimeriez jouer en live. Puisque la plupart des musiciens électroniques sont des utilisateurs de logiciels, nous allons commencer par cette approche qui est plus facile et permet de jouer à la fois à la maison pour le plaisir ou dans un club. Une erreur courante que je constate chez les nouveaux artistes qui veulent jouer live est de rendre les choses trop ambitieuses et trop compliquées. Les préparatifs deviennent trop exigeants et le fait même de jouer le set perd son côté amusant.

Première idée pour préparer votre set : transformer vos morceaux, finis ou non, en moments à jouer en live.

Dans un article précédent, j’ai dit que faire beaucoup de boucles est quelque chose qui finit par payer. Quand vous voulez jouer en live, il est toujours préférable d’avoir beaucoup d’options à portée de main que vous pouvez explorer, pour voir ce qui fonctionne ensemble et ensuite transformer ces boucles peut-être inachevées en nouvelles chansons.

Pendant des années, j’ai toujours eu un fichier de projet principal pour jouer live dans lequel je testais toutes les nouvelles idées sur lesquelles j’allais travailler pendant une période de temps donnée. Ce live est comme un laboratoire d’expérimentation ; c’est là que de nouvelles idées surgissent, où les boucles deviennent des pistes terminées, et où certains sons sont remplacés ou remixés dans une autre piste. En d’autres termes, je recommande de transformer vos boucles d’arrangement inutilisées en une scène dans Live, de les jouer et d’enregistrer la sortie. Rincer, répéter.

Mais par où et comment commencer ?

Prenons par exemple cet arrangement simple et voyons ce que nous pouvons en tirer. Disons que vous avez une piste en cours ou terminée, partiellement configurée dans une vue d’arrangement (note : n’importe quel DAW en mode arrangement, pas seulement Ableton). Tout d’abord, vous aurez besoin de savoir comment la piste est structurée.

Figure 1 — Mode arrangement avec marqueurs

 

Voulez-vous jouer le morceau comme vous l’avez arrangé ou voulez-vous avoir les parties pour improviser avec les différentes sections ?

Comme vous pouvez le voir dans la capture d’écran ci-dessus, j’ai inséré des marqueurs dans mon agencement qui représentent les principaux changements entre les sections ; tout est principalement organisé en blocs. Vous aurez besoin de découper ces blocs pour les déclencher, et aussi ce qui deviendra primordial est la façon dont vous décidez de les jouer. Si certaines parties sont fortement découpées, je vous recommanderais soit de transformer cette section en un bloc entier, soit si vous voulez jammer avec ces sons, vous pouvez les ajouter à un Drum Rack. Cela dépend si vous voulez jammer dans votre set ou pas. Le but ici est d’avoir une meilleure vue de la façon dont vos blocs existent afin que lorsque vous êtes dans la vue de session, les parties soient faciles à voir.

1re CHOSE À FAIRE :

  • Étirez les petits blocs qui se répètent pour créer des blocs plus grands qui couvrent la zone où ils doivent être répétés (note : assurez-vous que le clip est en mode boucle).
  • Utilisez Cmd + J pour consolider les blocs découpés en blocs plus grands. Si certains blocs ont des variations, regroupez-les tels quels.
  • Utilisez les couleurs pour clarifier où les blocs ont des changements. Supposons qu’un bloc se répète jusqu’à un moment donné, mais change ensuite de hauteur ; vous pouvez changer la couleur de celui où la hauteur est changée pour symboliser ce changement.

Figure 2 — Blocs consolidés vs blocs non consolidés

Dans la figure 2, la partie gauche a été consolidée et la partie droite ne l’a pas été. Vous pouvez dupliquer la partie gauche à droite après avoir consolidé de cette façon.

Cela peut sembler prendre du temps, mais ce n’est pas beaucoup de travail supplémentaire et cela sera payant une fois que vous déplacerez le tout en mode session.

Lorsque vous avez terminé, vous devez apporter les nouveaux blocs dans la vue de session.

Si vous avez des groupes, je suggère de les détacher. La raison en est qu’il est non seulement peu pratique d’utiliser les groupes en vue de session, mais aussi qu’il y a des chances que vos groupes diffèrent d’une chanson à l’autre, et qu’en fin de compte cela soit plus confus qu’utile. Si vous avez regroupé vos FX, je vous suggère d’exporter le canal entier comme une stem et de décider plus tard comment l’utiliser dans un contexte en live. Vous pourriez peut-être décider d’utiliser des effets pendant le live et donc, de ne pas exporter le canal. C’est dur pour moi de vous dire quoi faire ici.

2e CHOSE À FAIRE :

  • Attrapez tous les clips à l’aide de Cmd + A, cliquez pour saisir, appuyez sur Tab puis déposez-les dans la vue de session.

    Cmd + A, cliquez pour saisir, appuyez sur Tab puis déposez-les dans la vue de la session.

  • Vous pourriez avoir un très grand nombre de clips. Après avoir tout déplacé dans la vue de session, vous verrez que certaines « scènes » sont constituées des mêmes clips. Vous devrez supprimer toutes les scènes qui sont identiques : vous n’en avez pas besoin. Au final, vous pouvez passer de 60 scènes possibles à environ 5 (!). En situation live, vous voulez que tout soit devant vous, et plus les choses sont simples, plus vite vous serez en mesure d’aller où vous voulez. Vous pouvez également passer de la Scène A à la Scène B, de C à D dans n’importe quel ordre, ce qui vous donne la possibilité de remixer votre musique à la volée.
  • Certaines personnes peuvent avoir un grand nombre de pistes groupées en 5-8 groupes. Les groupes rendent les choses difficiles à jouer en live, car ils ajoutent beaucoup de complexité. Je vous suggère peut-être d’exporter les stems de la piste pour les groupes, puis de les découper en sections comme je l’ai expliqué plus haut. Cela pourrait aussi vous inviter à reconsidérer la façon dont vous utilisez les pistes — j’ai souvent l’impression que les gens en utilisent trop. Je n’utilise jamais une seule piste pour un hit qui arrive une fois dans une chanson. J’aurai une piste réservée où je mettrai tous les sons one-shot d’un coup. Cela peut changer la donne pour vous si vous utilisez beaucoup de petits projets plus faciles à comprendre et vous vous sentirez plus concentré (et utiliserez moins de CPU !).

 

En ce qui concerne le nombre de canaux à utiliser, vous devrez faire des tests sur votre propre configuration avant de décider. Dans le post précédent sur ce sujet, on m’a conseillé de faire attention au nombre de canaux/pistes utilisés. Idéalement, vous voulez en avoir un maximum de 12. Pour réduire le nombre de pistes que vous utilisez si vous en utilisez davantage, vous devrez en regrouper quelques-unes qui sont similaires ou combiner des pistes qui n’ont pas beaucoup de choses dessus. Par exemple, j’aurais un canal qui serait une boucle plus longue qui combinerait tous les FXs et les hits aléatoires. Le fait de le jouer en boucle plus longue plutôt qu’en boucle courte crée une sensation de live qui n’est pas aussi « folle ».

Répétez votre session en appuyant sur certains clips ou en déclenchant une scène pour voir ce qui se passe. Une fois que vous aurez supprimé les scènes redondantes et réduit le nombre de pistes, vous commencerez à avoir un premier aperçu de ce à quoi ressemble votre chanson en termes de live.

Bien sûr, vous allez vous poser de la question existentielle de savoir si vous voulez jouer le morceau « tel quel » ou si vous voulez avoir une version spéciale juste pour un contexte live.

Personnellement, je pense que c’est un peu ennuyeux de ne pas offrir quelque chose de différent dans un set live. Il y a deux façons pour changer les choses : le rythme et le jam. Le jam sera abordé plus en détail dans la partie 3, car c’est une partie très importante de la préparation et peut aussi être quelque chose qui peut changer à jamais votre approche de la musique.

Le rythme sera la dernière partie de la préparation de votre set live. Je vais couvrir la majeure partie de la phase de préparation du rythme ci-dessous, et l’article suivant sera davantage concerné par la façon de jouer votre live set.

Je pense que mes meilleurs lives étaient surtout bons parce qu’ils avaient un noyau autour duquel il y avait une certaine préparation, mais ils avaient aussi beaucoup de place pour improviser, dépendamment de la façon dont l’événement se déroulait. Ces sets étaient polyvalents ; je pouvais ouvrir une soirée avec eux ou jouer au peak time, surtout à cause de leur flexibilité. Ces sets étaient plus ou moins composés des mêmes morceaux, mais les variations seraient si faciles à interpréter à la volée que je pourrais vraiment suivre ce que je sens bien dans le moment. Je n’ai jamais vraiment compris l’intérêt d’avoir un set trop bien préparé. J’ai déjà essayé l’approche préparée auparavant et cela a rendu toute l’expérience ennuyeuse, parce qu’il n’y aurait pas eu de prise de risque. Elle semblait aussi déconnecter le public de l’écoute. Par exemple, imaginez que votre piste a été construite pour avoir une drop, un breakdown à un point précis et un moment de tension après, mais si la piste de danse commence juste à s’échauffer au drop, vous risquez de perdre l’attention des gens ou cela pourrait sembler déplacé.

Un set bien préparé a des moments pour construire la tension, d’autres pour la relâcher, des variations, et du matériel pour augmenter l’intensité si nécessaire, sans qu’il s’agisse d’un groupe fixe de pièces qui ne sont pas facilement déplaçables. Chaque chanson a besoin d’une intro et d’une outro pour que vous puissiez passer d’une chanson à l’autre de façon fluide, comme le ferait un DJ.

DERNIÈRE CHOSE À FAIRE (3) :

  • Essayez de décider de la première scène de vos chansons. Elle ne devrait pas être trop remplie, mais d’habitude, vous voulez un groove solide et des teasers de la mélodie à venir. Il est toujours important d’établir le groove pour obtenir la confiance des gens — ce que j’appelle la confiance du dance floor. Cette confiance vient généralement du Kick et des fréquences basses qui sont clairs et précis, ce à quoi les gens peuvent s’identifier, peu importe ce qui se passe dans d’autres parties du spectre de fréquences.
  • Votre intro doit être ouverte et avoir de la place. Si vous avez une mélodie, essayez d’en couper une partie. Cela permettra de mélanger une partie de la mélodie d’une autre chanson avec la chanson actuelle ; elles se répondront en écho. Cela se produit lorsque les premières notes d’une mélodie répondent aux dernières notes d’une autre mélodie. Les DJs adorent ça dans une chanson et en jouant live, vous verrez pourquoi ; vous découvrirez des « dialogues » entre vos morceaux qui pourraient même révéler les bons et les mauvais arrangements de vos morceaux.
  • Définissez l’accroche. L’accroche principale de votre chanson suivra l’intro. Cela ne veut pas dire que vous allez dropper tout de suite, car vous pouvez construire dans cette direction.
  • Prévoyez deux variations de l’accroche avec des percussions complémentaires. Si vous écoutez un DJ set, surtout de la musique techno ou basée sur des loops, vous verrez que c’est surtout une boucle avec des variations. Essayez d’avoir des variations dans vos percussions, mélodies ou basses. De cette façon, vous pouvez basculer entre l’accroche et cette partie. Je vous encourage vraiment à écouter des DJ sets pour avoir des idées.
  • Créez un moment de tension. Cela peut être un breakdown ou un moment où quelque chose se produit. J’ai toujours aimé définir ce moment comme une scène où les effets et l’atmosphère changent pour créer quelque chose d’excitant.
  • Relâchez la tension. Cette scène est essentiellement ce qui serait joué après le drop et c’est généralement l’accroche avec un peu plus d’intensité et de variations. Cette scène devrait être la plus importante.
  • Outro. Elle est similaire à l’intro, mais devrait être légèrement différent.

Dans le prochain article, nous reviendrons plus en détail sur les clips et comment créer le petit « laboratoire » parfait pour vous. Je vous proposerai des façons de jammer qui vous ouvriront les portes pour enfin jouer en live et avoir tout le plaisir que ça procure.